Tricheurs qui ont la bosse des affaires
Au début, on a vu émerger des entreprises en ligne qui font le commerce des travaux d’étudiants. Mais certains professeurs sont devenus habiles dans leur détection, sans compter la myriade de services privés pour les débusquer. Maintenant, une nouvelle cohorte d’étudiants paresseux ont recours à des sites légitimes d’échanges commerciaux pour offrir leurs travaux à des soumissionnaires (BBC: Student cheats contract out work). Un service commode, sans doute pour les fils à papa et les tricheurs qui n’ont jamais appris à besogner. Dans un exemple de voleur floué, je ne serais pas surpris d’apprendre que des soumissionnaires aient refilé des travaux achetés sur les premiers sites.
Par ricochet :
Responsabilité éthique collective
Étudier, rédiger, plagier, tricher, empêcher la triche ou ne pas tricher. Des ressources.. (Thot)
Vous pouvez suivre les commentaires en réponse à ce billet avec le RSS 2.0 Vous pouvez laisser une réponse, ou trackback.
Un prof pourrait donner un devoir particulièrement spécifique à mes étudiants, et s’offrir ensuite sur un de ces sites, sous pseudo, comme « sous-contractant », question de voir combien de ses étudiants y font appel. (Je crois que c’est ce que les anglos appellent « entrapment »).
Très fortiche (et rusé), Marc André. Cela ne me serait jamais venu à l’esprit. Ah, les artistes !