Étude: la procrastination cause moins d'erreurs
Dans un système scolaire où la motivation est perçue par le gros bout de la lorgnette, les élèves s’abandonnent à une procrastination rampante. Quoique ceux qui sont soumis à des échéanciers étalés et périodiques éprouvent moins de retards, une étude (Procastination, Deadlines, and Performance: Self-Control by Precommitment; PDF) arrive à l’étonnante conclusion que ceux qui attendent les échéances pour se mettre au travail commettent moins d’erreurs grammaticales (Eide Neurolearning Blog: Procrastination). Évidemment, le nombre de fautes d’écriture n’est pas nécessairement le meilleur gage de la qualité globale d’un travail. Tout de même, l’observation est intéressante. Travaillons-nous mieux sous pression? Le cerveau traite-t-il mieux un sujet quand il est frais à l’esprit? Questions sans réponses, mais qui laissent entrevoir des avantages à la procrastination.
Pour plus d’information sur la procrastination, consultez Wikipedia ou cette page du Dr. Timothy Quek. Pour explorer encore davantage le sujet, utilisez le nuage heuristique ci-dessous.
Par ricochet :
9 raisons qui nous retiennent d’agir
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Alors la, pour la vaisselle, c’est foutu!
Pour la vaisselle, de toute façon, c’est toujours foutu.
Vrai!
Ha ba j’aurai peut-être mon concours de médecine en ne révisant que une semaine à l’avance alors :d
(c’est beau de réver….)
Le rêve, quelle belle façon de procrastiner! À la condition que les patients n’écopent pas de l’attente
Bon succès dans votre concours de médecine, Raphael.