6 leçons que l'école oublie d'enseigner
Soyez autodidactes, n’attendez pas que la vie vous donne des leçons. (Stanislaw Jerzy Lec)
On dit que les études de MBA sont parmi les plus difficiles. J’ai donc été intrigué par un article d’un diplômé qui, en rétrospective, jette un regard sur les stratégies et les compétences qui lui ont permis de réussir (Globe and Mail : Lessons Learned). L’article est d’autant plus intéressant qu’il traite de soft skills, c’est-à-dire des habiletés d’ordre personnel et social qui accentuent les savoir-faire plus académiques. En lien avec la méthode, la métacognition et les attitudes, la plupart d’entre elles se rapprochent des fondements du Renouveau pédagogique, quoiqu’on n’ose pas toujours les répéter à voix haute aux élèves par crainte de paraître subversif.
Voici donc six leçons à enseigner aux élèves pour favoriser la réussite scolaire, puis professionnelle (cliquez sur l’image pour un agrandissement) :
(Image thématique : His First Lesson, par Frederic Remington)
Par ricochet :
Guides et stratégies pour l’école
77 conseils pour faciliter l’apprentissage
Stratégies de métacognition
Leçons d’experts
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Excellente nouvelle. Avec votre permission, nous allons la reprendre sur le webzine des jeunes, Québec Jeunes. Nous proposerons en hyperlien trois autres articles et ajouterons votre logo, afin de faire connaître votre site-ressource. L’idée vient de me traverser l’esprit : ce serait super de présenter une entrevue avec vous, histoire que les jeunes découvrent un des bons penseurs dans le domaine de l’éducation. Kesketendit guitef?
Vous me faites trop d’honneur. Je serais enchanté que vous publiez certains billets sur le site de Québec Jeunes. Je suis tout aussi réceptif à l’idée d’une entrevue, si vraiment le coeur vous en dit. Vous pouvez me joindre à l’adresse francoisguite[à]gmail.com
Nous pensons que la structure 1 maître pour une classe ne répond plus, à notre époque, à la finalité de l’École publique qui devrait être « l’école de la réussite pou tous ». En outre, nous considérons qu’il faudrait substituer une polyvalence actuelle à une polyvalence de l’équipe pédagogique. Nous irions alors avec : « une autre f
Je suis bien d’accord avec l’affirmation selon laquelle « 1 maître pour une classe ne répond plus, à notre époque, à la finalité de l’école publique ». Les nouvelles technologies permettent en effet à la classe de communiquer avec des experts au-delà des contraintes physiques de la classe, voire de l’école.
Par contre, je ne saisis pas très bien ce que vous entendez par « polyvalence actuelle ».