Les confluences virtuelles


PalmerMeetingMiddleVI.jpgL’étonnement, la révélation naissent pour moi de la rencontre de deux regards sur le même objet.
(Gustave Thibon)

Au regard des probabilités, les chances de trouver parmi nos proches une personne qui partage un même besoin sont plutôt maigres. D’où la puissance du Web de réunir ceux dont les affinités passent autrement inaperçues. Ce rapprochement, aussi atomisé soit-il, a permis l’essor du source libre. Après l’engouement pour les sites de rencontre, la raison et la science y trouvent aussi leur compte. Coup sur coup, deux applications attirent mon attention sur cette capacité des réseaux virtuels de focaliser des intérêts communs.

J’ai d’abord été séduit par Foldit, un jeu de science qui fait appel à la participation collective des joueurs pour faire avancer notre compréhension des protéines (source : Jane Hart). L’idée de focaliser la capacité cérébrale des individus sur un problème scientifique est potentiellement très opérante.

Puisque j’ai un faible pour l’éducation, la palme revient à Florence qui a vu le potentiel du rassemblement volontaire à la base de Supercoolschool (application Facebook) (Education 2.0 – Learning 2.0 Tools : Supercoolschool : quand le rêve d’un homme devient réalité !). Étant rébarbatif à Facebook, je renvoie le lecteur à cette vidéo promotionnelle. Je retiens surtout l’idée d’un environnement d’apprentissage choisi en fonction de ses besoins.


(Image thématique : Meeting in the Middle VI, par Ruth Palmer)


Par ricochet :

L’autonomie d’apprentissage

Le Web 2.0 loin en avance sur les écoles

Les TIC pour un programme de formation individualisé

Environnements d’apprentissage personnels

Les objets d’apprentissage

Vous pouvez suivre les commentaires en réponse à ce billet avec le RSS 2.0 Vous pouvez laisser une réponse, ou trackback.

Une réponse



Laisser un commentaire

*