Victime de spyware, une enseignante risque la prison
Les professeurs s’exposent-ils à des poursuites judiciaires en intégrant les nouvelles technologies dans leur enseignement? Les risques sont minces, mais personne n’est à l’abri de zélateurs en autorité. Prenez le cas de cette enseignante, suppléante de surcroît, reconnue coupable de quatre chefs d’accusation pour avoir exposé des élèves à la pornographie (WPRI: Substitute convicted in school computer porn case). Le plus inquiétant dans cette histoire est la possibilité que l’accusée ait été victime d’un logiciel espion (spyware). La chose n’est pas impossible, considérant que les filtres internet de l’école étaient hors d’usage ce jour-là. La malheureuse pourrait être condamnée à 40 années d’emprisonnement (learning.now: Teacher Faces 40-Year Prison Sentence Because of Filtering Folly?).