Le mind mapping pour contrecarrer le copier-coller
Copier sur un seul, c’est du plagiat. Copier sur deux, c’est de la recherche. (Wilson Mizner)
La quasi unanimité des professeurs à décrier le copier-coller et à pointer du doigt les nouvelles technologies de l’information porte à croire que son rejet systématique relève davantage de la pensée de groupe que d’une réflexion sur le phénomène. Je l’ai constaté maintes fois au refus des professeurs d’en discuter. Le copier-coller n’est pas d’emblée un signe de fausseté ou de paresse intellectuelle, quoique cela ne soit pas exclu; il s’inscrit souvent dans un processus de synthèse où l’auteur pèche par négligence, voire par ignorance. Dans la plupart des cas, en situation d’apprentissage, cela ne justifie pas le rejet total du travail.