Les pays industrialisés s’inquiètent de la baisse des résultats scolaires en sciences et de la diminution des élèves qui se destinent à une carrière scientifique. Manifestement, le but est intéressé : il y va de notre productivité collective dans un contexte de mondialisation. Les secteurs de la recherche et de l’industrie ont, comme de raison, un insatiable besoin de scientifiques et d’ingénieurs. Mais s’il faut en croire les Britanniques, les jeunes considèrent que les sciences sont le refuge des bolés’, et pas fait pour eux (BBC : Science not for normal people’). Mes observations ne me permettent pas de croire que les perceptions sont fort différentes au Québec. Peut-être le temps est-il venu d’injecter un peu de plaisir dans les sciences, de façon à les démythifier.
Par ricochet :
Variations pédagogiques pour les sciences
Pourquoi les enfants aiment tant le fantastique