La cité des enfants perdus : histoires vécues


J’ai été touché de ce reportage de Katia Gagnon, dans La Presse, d’un garçon sans père et abandonné par une mère toxicomane, qui hurle son désespoir dans un centre d’hébergement. Un naufragé, parmi d’autres, que l’on tente de sauver des lames écumantes. Toute la série La cité des enfants perdus, à vrai dire, mérite d’être lue. Par les enfants-rois, surtout.

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2 réponses

  • Sylvain Bérubé dit :

    Parlant de naufragés : tu me rappelles un cas raconté par une infirmière de Québec, celui d’un bébé prématuré de moins de 1 kg, à qui il fallait donner une dose quotidienne de drogue pour désintoxication progressive, car la mère était héroïnomane avant et pendant la grossesse.

    Il y a des êtres qui commencent très très hypothéqués dans la vie. Dans ces cas extrêmes, je m’interroge sur les vraies chances de survie d’un tel bébé…

  • Des histoires comme celle rapportée par Sylvain raffermissent ma conviction de l’inexistence de Dieu, à tout le moins d’un Dieu juste.



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